De femmes et de fleurs – la suite

Hier, je vous parlais de femmes et de fleurs, d’une chanson de Fernand Gignac et d’une citation de Michael Crichton. Si vous avec manqué le billet, il vous prendra très peu de temps pour aller le lire. Somme toute: les femmes aiment se faire offrir des fleurs parce qu’il s’agit d’une marque de respect de l’homme à l’endroit de la femme qui se fout pas mal des fleurs au final et apprécie le geste. De manière générale, je pense qu’il ne faut jamais attendre une occasion spéciale pour signifier son respect, son admiration, son amitié, son amour, son appréciation d’autrui; j’applique cela à la famille, aux amis, aux collègues, aux connaissances, aux nouvelles rencontres… Share the love, comme on dit en bon français. Et what goes around comes around. Tsé. Pis toutte.

Ça fait que je disais aux messieurs hier de ne pas attendre d’occasion pour signifier toute l’ardeur de leurs émotions à leur tendre moitié. Imaginez-vous donc que mon mari chéri est rentré à la maison avec un joli bouquet de trois roses et deux bouteilles de vin (une pour accompagner le souper d’hier et la seconde en prévision de ma soirée de veuve du travail de ce soir). À la fois un peu kétaine, très touchant, absolument inattendu. Vraiment. Lire la suite

De femmes et de fleurs

Si vous venez souvent ici, vous commencez à connaître mon amour de la musique ainsi que sa force d’inspiration et d’attraction sur moi. Quand une piste joue qui me touche, d’un artiste que j’admire, je suis comme hypnotisée. Dans un billet précédent, je vous ai parlé de la splendide compilation réalisée par Radio-Canada pour souligner ses 75 ans. Une autre de ses chansons me trotte beaucoup dans la tête ces temps-ci: « Donnez-moi des roses » de Fernand Gignac. Son texte d’une ironique tristesse et sa musique d’une douce mélancolie m’ont toujours fascinée. Lire la suite

Être enceinte, ce qu’il faut savoir (1) : la garderie

Il y a les amies, la maman, la belle-maman, les grands-mamans, les matantes tannantes, les inconnues qui s’en permettent large; il y a les livres, les sites Internet, les émissions sur les chaînes spécialisées; il y a aussi la sage-femme ou le médecin qu’on voit régulièrement, l’infirmière d’Info-Santé au 811 ou celle du CLSC. Malgré tout cela, malgré la pléthore d’informations à laquelle j’avais accès, j’en ai échappé pendant ma grossesse. Alors maintenant, en plus de tout ça, vous avez moi! 🙂 Moi qui a soigneusement consigné toutes les étapes de sa grossesse dans un journal hebdomadaire avec notes à la journée, moi qui a appris de ce que j’ignorais, moi qui a stressé pendant des mois puisque j’étais terrifiée à l’idée de manquer un test ou un prélèvement, d’être ainsi responsable d’un dépistage erroné ou pas effectué.

Je vous le dis tout de suite, même après avoir lu ce texte et celui où j’explique un peu ce que ça fait que d’être enceinte, vous serrez encore terrifiée. Je le suis encore chaque jour, à l’idée d’être une mauvaise mère, à la possibilité que mon fils se blesse ou tombe malade, en pensant à tous les défis que l’avenir nous réserve comme famille. Je me dis toutefois que si certains stress inutiles peuvent être éliminés, comme ceux liés au calendrier de grossesse, vous pourrez profiter davantage de celle-ci.

Dans la série « Les Joies de la maternité », voici: ce qu’il faut savoir. C’est un billet colosse, publié en plusieurs parties.

Première partie : la garderie

C’est pas des blagues, vous le savez sans doute: dès que vous tombez enceinte, inscrivez bébé sur toutes les listes d’attente possibles et imaginables des garderies (centres de la petite enfance, garderies privées et garderies en milieu familial à 7$ ou pas) dans les secteurs où vous êtes prêts à vous rendre quotidiennement pour fréquenter une garderie. Mais comment faire sans y passer des journées entières? Lire la suite