À propos

Votre humble serviteur

Véronique Martel, 29 ans, bélier.

Deuxième de trois enfants de naissance, quatrième de cinq dans la famille reconstituée.

Montréalaise (une vraie de vraie, née ici)
estrienne (expatriée d’études dans un coin de pays où j’ai à moitié grandi)
rentrée au bercail pour y faire sa vie.

Québécoise.

Voyageuse.

Amoureuse de la vie. Extravertie passionnée, cérébrale réfléchie.

Caféinomane.

Épicurienne, cuisinière. Préfère les soupers entre amis aux sorties. Que voulez-vous, on vieillit.

Bilingue et sans complexe. Mais amoureuse de ma langue maternelle, le français, de ses mille et unes exceptions, de ses incompréhensibles caprices, de ses infinies possibilités, de sa rondeur en bouche, de sa profondeur de sens, du rêve qu’elle évoque par la lutte qu’elle rapporte.

Politisée, critique, ouverte, philosophe, parlable.

Ninja.

Âme d’étudiante, militante. Rêveuse pragmatique, idéaliste axée sur l’objectif.

Professionnelle de la communication politique, des relations publiques et de l’organisation d’événements.

Mariée, maman qui a passé un an en congé de maternité.

Pis toutte.

« Toutte. Pis toutte. », c’est une autre manière de dire que « toutte est dans toutte », que « rien ne se perd, rien ne se crée » ou encore que « y’a rien pour rien, dans la vie ». Conclure une conversation avec « Pis toutte », c’est avouer à la fois qu’il n’y a plus rien à dire et qu’on n’a plus rien à dire. Un complexe paradoxe langagier dans toute sa singulière simplicité, synonyme familier de « derechef : … », locution aussi difficile à verbaliser qu’à lire. Merci Kaven.

Amoureuse du français, je vous l’ai dit. Fan des jeux de la langue, quels qu’ils soient. Voilà pourquoi la « fôte » volontaire dans le titre, à la manière de Raôul Duguay.

Je suis la maman du plus beau petit garçon du monde. Merci Chéri! Maintenant que c’est dit, je précise que je suis en congé de maternité parce que c’est la perspective de tout ce « temps libre » qui est à l’origine de ce blogue. Il ne s’agira pas d’un blogue de maternité pour les femmes au foyer ou les féministes frustrées. Si je parle de fiston ou de mon rôle de maman, Messieurs, Mesdames et mesdemoiselles y trouveront leur compte.

Du café? C’est la vie. Vous dire que je suis heureuse de _enfin_ recommencer à en boire à volonté (ce que l’on ne peut pas faire lorsque l’on est enceinte) ! Le matin, les idées claires, l’ardoise mentale propre, c’est là que j’écris. Pour les amateurs ou les curieux, je bois du Ocho, mouture espresso électrique, torréfié sur place chez Les Fromages de choix situé au 2101 , rue Beaubien est, à Montréal. Merci Wayne.

Du café, c’est aussi la source d’énergie essentielle aux communicateurs, rédacteurs, geeks et politico-freaks. Comme je fais partie de toutes ces catégories…

Un journal. Parce que j’aime lire le journal, en papier, et que j’adore pratiquer cette activité rétro en dégustant mon café. J’aime son odeur, sa texture, le son unique de la page qu’on replie sur elle-même, les usages infinis qu’on peut en faire une fois la lecture terminée. Un journal, c’est le rapport de moments importants dans nos vies, le récit évolutif de notre société, une image de ce que nous sommes et de ce que nous pensons, un outil essentiel aux débats, à quoi s’ajoute une collection de brèves aussi insolites que déterminantes. Voilà la vocation que je souhaite dorénavant donner à ce blogue. Un journal, parfois intime, toujours authentique; un assortiment de tranches de vie, généreusement arrosé d’amour, que j’espère vous pourrez apprécier.

D’autres billets « à propos » de moi

Présentations d’usage, mon tout premier billet

30 tranches d’une vie déjà bien remplie, que j’ai partagées à l’occasion de mon 30e anniversaire

Un collaborateur occasionnel, pour m’aider à rester à jour!

C’est Jean-Pierre Lord. Découvrez qui il est!

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