ReFeLeMeLe… ou pas

La dernière fois ça a fonctionné. Écrire, je veux dire. Quand je ne dormais pas et que je ne m’amusais pas tant. Je prends la chose avec un peu plus de légèreté cette nuit, comme en fait foi la référence « musicale » du titre, et je me lance sur Facebook. Ben oui.

Ça fait que j’ai joué à la graphiste et j’ai patenté du visuel. Pis si je ne vous avais pas encore invités à aimer ma page Facebook, ben je viens de le faire!

C’est ici –> facebook.com/pistoutte. Il n’y a pas grand-chose pour l’instant, mais je vous assure qu’on va s’amuser!

En plus de vous laisser un verre d’oreille, moment épique de la carrière de RBO.

Faque c’est ça.

Fin?

Mêlez-vous de vos affaires!

Mêlez-vous de vos affaires!

« Please don’t help my kids » est un article provocateur au titre choc qui fait jaser depuis près d’un an – et qui n’a pas fini de faire jaser. Son message? Avis à tous les parents qui pensent intervenir auprès de mon enfant, derechef en ma présence: « Mêlez-vous de vos affaires! »

Please don’t help my kids.

L’auteur dit « please don’t help my kids » à la suite d’une intervention non sollicitée de parents auprès de son enfant au parc. Les mots magiques: intervention non sollicité. Un conseil, une suggestion, ça passe et ils peuvent même être le bienvenus! Mais une intervention, WTF? I couldn’t agree more. Même avant d’avoir des enfants, j’aurais partagé le point de vue de l’auteur. Et vous?

« Please don’t help my kids », s’adresse aussi à ceux qui tentent de toucher mon enfant devant moi sans ma permission parce qu’il est mignon, du high-five à la main sur la tête en passant par la chatouille sur le bras; qui touchaient ma bédaine pendant la grossesse, particulièrement celles que je ne connaissais pas!; qui me disent comment je devrais élever mon enfant, ce qu’il devrait manger, quand et comment, quand il devrait faire la sieste, les jeux qu’il devrait pratiquer ou pas, etc, parce que c’est comme ça qu’on fait et que je ne fais pas bien ça. Toutes ces personnes entrent dans la même catégorie, mais les mots me manquent pour la décrire. Vous avez des idées?

La vie, un cri à la fois

Le 10 septembre est la Journée mondiale de la prévention du suicide. Voilà bien un fléau dont il faut parler sans gêne à l’année longue, mais faire le point sur ce sujet malheureusement trop tabou une fois l’an n’est pas de trop.

À l’échelle mondiale, on compte un million de suicides et dix millions de nouveaux endeuillés chaque année. Au Québec, le suicide est la cause de trois décès par jour. En 2009, ce sont 1068 personnes qui se sont enlevé la vie et des milliers d’autres qui ont été affectées par un deuil douloureux.

Cette année, l’Association québécoise de prévention du suicide (AQPS) a lancé une belle initiative: un blogue dont les billets visent à contribuer à la prévention du suicide. Une des agentes de mobilisation de l’AQPS m’a contactée pour me demander de contribuer. (Je la connais pour avoir eu le privilège de la côtoyer, elle aussi, collègue au sein du (feu) Conseil permanent de la jeunesse.)

Mon billet sur le blogue de l’AQPS —–> La vie, un cri à la fois

N.B.: J’y cite Pauline Julien. Sur ma page Facebook, une amie se questionne sur ce choix. J’avoue candidement que j’avais oublié que Pauline Julien s’était enlevée la vie. Mea culpa. Sa mort est associée dans mon esprit à la maladie dont elle souffrait: l’aphasie dégénérative. Cela rappelle le débat sur  sur la question de mourir dans la dignité

Les médias sociaux lors de la prochaine campagne électorale: mon point de vue

Si vous ne le saviez pas, vous le découvrez ici: avant d’être en congé de maternité, je passais le plus clair de mon temps sur Internet, puisque mon emploi à temps plus-que-plein était webmestre et animatrice de communautés virtuelles du Parti Québécois. Dans un premier temps, j’avais la responsabilité de mettre à jour le site Internet et le blogue du Parti Québécois; cette charge de travail a rapidement été doublée de la responsabilité des sites Internet des députés et des instances (mise en ligne, formations, soutien technique, etc.). Dans un second temps, j’avais la responsabilité de mettre à jour et d’animer les comptes Facebook, Twitter, YouTube et Flickr du Parti Québécois, en plus d’offrir conseil et formation aux députés, au personnel politique et aux membres des instances. J’ai également eu le plaisir et le privilège d’être co-conceptrice de L’Atelier, la communauté d’action politique du Parti Québécois. En plus, je fais de la formation en entreprise et avec des OSBL sur l’utilisation efficace des médias sociaux et surtout sur l’intégration des communications dites traditionnelles et en ligne (la communication intégrée). Bon. Ça fait que je connais bien les zinternets, la politique, et les interactions que ces deux univers peuvent entretenir.

Je suis en congé de maternité, et pas peu heureuse d’avoir réussi à décrocher. N’empêche que ce qui se passe sur Twitter, surtout, me fascine et me garde au courant de la vie politique et des potins du Web 2.0. On sort la fille de la politique, mais pas la politique de la fille… 😛 Même en congé, je reste une observatrice avide de nouvelles découvertes et une politologue curieuse. Lire la suite