Je m’assume : c’est Noël à l’année dans mon coeur

Au travail, je partage un bureau avec des collègues. Pour me faire plaisir, il choisit la musique de Noël sur Songza.  J’adore Noël. Oh oui. Fébrilité hivernale dans mon cœur et anticipation grandiose du temps des fêtes. Cher collègue, merci pour ce moment tendre.

Ça m’a rappelé la conclusion d’un échange sur Twitter, il y a quelques semaines, où je me fais accuser de croire au Père Noël. Entre les lignes, je me fais accuser de rêver en couleurs.

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Justement. Non seulement j’ai le droit de croire au Père Noël, mais j’y crois *encore* au Père Noël et je n’ai *jamais cessé* d’y croire. Et je vais vous dire pourquoi: parce qu’au-delà du mythique personnage, le Père Noël, le vrai de vrai, est la personnification de valeurs auxquels j’adhère et que je souhaite transmettre à mes enfants. Bon, dans mon univers de socialisation, on parle du Père Noël, mais ça pourrait très bien être un autre personnage. L’important n’est pas le personnage, comme ce n’était pas l’échange sur Twitter, mais le message et son objectif, comme le démontre la conclusion dudit échange.
  • Faire le bien, parce que rien ne se crée et rien ne se perd, ou parce que what goes around comes around. C’est assez clair dans les chansons de Noël, ça! He knows if you’ve been bad or good / So be good for goodness sake!
  • Donner généreusement et penser à ce qui fera plaisir aux autres. Noël, c’est recevoir des cadeaux, mais c’est surtout les offrir! Les enfants mettent un moment à comprendre cela, bien entendu, mais l’apprentissage de la générosité se fait par mimétisme, comme pour tout le reste…
  • Prendre le temps. Ceux qui n’aiment pas Noël vivent le temps des fêtes comme une corvée: il faut aller voir la famille, faire des cadeaux, se garrocher dans les magasins, payer une fortune pour le plus récent gadget, etc. Non! Pour moi, le temps des fêtes est un moment pour prendre le temps d’être avec ceux qu’on aime – et prendre le temps de leur dire.

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C’est vendredi!

TGIF. There is hope. 😛

vendredi

De femmes et de fleurs – la suite

Hier, je vous parlais de femmes et de fleurs, d’une chanson de Fernand Gignac et d’une citation de Michael Crichton. Si vous avec manqué le billet, il vous prendra très peu de temps pour aller le lire. Somme toute: les femmes aiment se faire offrir des fleurs parce qu’il s’agit d’une marque de respect de l’homme à l’endroit de la femme qui se fout pas mal des fleurs au final et apprécie le geste. De manière générale, je pense qu’il ne faut jamais attendre une occasion spéciale pour signifier son respect, son admiration, son amitié, son amour, son appréciation d’autrui; j’applique cela à la famille, aux amis, aux collègues, aux connaissances, aux nouvelles rencontres… Share the love, comme on dit en bon français. Et what goes around comes around. Tsé. Pis toutte.

Ça fait que je disais aux messieurs hier de ne pas attendre d’occasion pour signifier toute l’ardeur de leurs émotions à leur tendre moitié. Imaginez-vous donc que mon mari chéri est rentré à la maison avec un joli bouquet de trois roses et deux bouteilles de vin (une pour accompagner le souper d’hier et la seconde en prévision de ma soirée de veuve du travail de ce soir). À la fois un peu kétaine, très touchant, absolument inattendu. Vraiment. Lire la suite

Les chats ninjas existent vraiment

Il faut regarder la vérité en face: des chats ninjas, il y en a partout. C’est juste qu’ils sont très subtils dans la réalisation de leurs missions. ENFIN sur Internet, une petite vidéo absolument sublime, qui rétablit les faits: les chats ninjas existent, ils ne sont pas qu’une légende urbaine. J’en ai moi-même deux spécimens particulièrement charmants et dangereux à la maison – des espions d’une autre dimension que je n’arrive pas à filmer dans le feu de l’action. L’aîné s’appelle d’ailleurs Ninja, c’est pas du hasard. Un Français du nom de  Faireset [NDLR: lire « fais reset», à la française, comme il se doit] a réussi là où j’ai échoué. Voyez par vous-même!

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